Mercredi 29 avril
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Par Maître andré
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Publié dans : Les Evènements
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Mardi 28 avril
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21:29
Quelques nuits calmes m'ont régénérée, et c'est avec une appréhension que je me plie à ma dixième épreuve, épreuve de punition, suite à mon manquement de la
précédente.....
Ce qui m'a surprit, c'est que Maître n'avait pas sorti son "matériel" de ses malettes... pas de fouets, ni de pinces, rien que je connaissaient et qui me rassurait.
Il m'avait juste bandé les yeux, et des menottes enserraient mes poignets dans mon dos.
Déjà je vacillais.
Il m'expliqua, que devant moi se trouvait posé au sol, une planche ou percent par dizaines des pointes dont le bout acéré étaient tournés vers le ciel.
Il me demanda expressément d'y poser mes pieds, et de rester ainsi quelques temps sans bouger....
Comme je ne pouvais prendre appui sur mes mains, comme une aveugle, je dirigeais mon pied droit vers la plaque; mes orteils l'effleurèrent, et aussitôt, je m'arrêtais sous la brûlure des
pointes.
Il fallait que je me ressaisisse, et rassemblait mes forces défaillantes.
Une fois encore j'échouais, et sous les encouragements de mon Maître, je portais brusquement mon pied sur les pointes, et simultanément je ressentis une douleur fulgurante.
J'étais debout sur un pied, haletante.....
J'hésitais à poser le pied intact, comme une baigneuse frileuse, trop consciente de ce qui m'attendait.
Il fallait pourtant que je m'y résolve.....
Je perdais volontairement l'équilibre, et me reçut sur l'autre pied qui s'en cloua dans une douleur plus sauvage encore que la première.
Voilà c'était fait. J'étais debout devant mon Maître, abandonnée à sa volonté, prête à ses ordres, qui m'imposait une série de lents mouvements simples de flexion et
d'extension.
La volonté, la souffrance, prenait sa source dans chaque mouvement qui exigeait ainsi une participation croissante de tension, sans pouvoir un instant se relâcher.
Il m'ordonna de faire des mouvements plus rapides, et la douleur m'enveloppa comme une flamme étincelante, qui me fouettait en larges nappes, mes pieds foulaient un sol de braises.....
Après une éternité, Maître vint me féliciter de ma docilité, et du plaisir que j'avais pu lui offrir, vint se serrer contre moi pour m'apaiser, et dans un râle de bête écorchée, je
défaillais presque , lorque mes pieds quittaient la planche...
Je reposais inerte dans ses bras, tandis que le lent effacement de la douleur m'apporta la
quiétude du bonheur.
Par Maître andré
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Publié dans : LES SUPPLICES DE KASSANDRA
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Mardi 28 avril
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21:03
Jamais encore, je n'avais pris totalement conscience de façon aussi aiguë de ma totale soumission envers mon Maître, et
de cet élan d'abandon auquel je me livre, ma volonté dissoute, aux ravages de cette passion, et des épreuves auxquelles il me soumet.
Ce matin il fait un temps superbe, Maître m'ordonne de mettre une robe légère, sans rien dessous, comme d'habitude, tandis qu'il choisit quelques petits accessoires qu'il emportera dans son sac à
dos.
Nous partons à l'aventure dans la colline.... La marche est agréable, un peu de vent léger soulève ma robe, et je sens son regard qui s'attarde sur mes rondeurs.....
Ici, voilà qui va convenir... Une vaste étendue verte se dessine devant nous. L'angle du pré, est envahi d'une végétation serrée de jeunes orties toutes fraîches......., et mon regard s'attarde sur
l'une d'elle, dont les feuilles déchiquetées, mangées par une grosse chenille paresseuse, qui trône au sommet des feuilles.
Un frisson de dégoût me parcours... et je sais ce que Maître veut.
L'air est tiède, de ce printemps, mais j'ai la chair de poule.... ma robe enlevée, je sens la chaleur du soleil, qui n'arrive pas à me réchauffer.
Agenouillée devant les orties, j'hésite comme devant une eau très froide.
Sur un rappel de mon Maître, dont la voix s'est durcie subitement, je m'engage dans le carré d'orties.
Mes genoux et mes jambes subissent les premiers assauts de l'âcre brûlure, puis tandis que je progresse, mon ventre et mes seins s'y soumettent à leur tour, et bientôt des cloques rouges tatouent
ma peau de leurs caresses ardentes.
J'ai occulté pendant tout ce temps cette énorme chenille qui se trouve devant moi.
Et bien qu'attends tu ?
Ma volonté est défaillante... ma langue se pose sur les feuilles rongées où broute la chenille.
Je suis surprise par la relative insensibilité des muqueuses de ma bouche aux piqûres d'orties, et de ce goût fade....
Mais je supplie Maître du regard; je ne peux toucher à cette chenille
C'est mon premier refus, je ne peux dominer mon dégoût, et je vois le regard attristé de mon Maître, alors dans un ultime sursaut, je touche des lèvres l'immonde chenille, mais ne peux ni la
croquer, ni l'avaler...
Tu as refusé cette épreuve, tu seras durement punie, je te le promets....
En attendant allonges toi complètement sur cette litière d'orties fraîches, mets toi sur le ventre, jambes et bras bien écartés, je vais te fouetter avec ce cadeau de la nature pendant 5
minutes.
Je ne suis plus qu'une immense brûlure, j'ai l'impression d'avoir une fourmilière sur moi qui mord à tout va, je crie , je supplie, le venin pénètre ma chair sensible de mes fesses et de mon dos,
et une douleur aiguë, éclate à chaque soubresaut que je fais.
Incapable de retenir mes larmes, mon Maître me relève, libérée, je savoure, abandonnée dans ses bras, sa tendresse retrouvée.
Ma robe , devenue un cilice insoutenable, le chemin du retour ne fut une épreuve aussi dure que celle que je venais de subir, et je pensais à cette punition, qui n'allait pas tarder à venir, parce
que j'avais failli à la précédente
Par Maître andré
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Publié dans : LES SUPPLICES DE KASSANDRA
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Mardi 28 avril
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20:43
LE FIGGING est une pratique sexuelle faisant partie des jeux bdsm, cela consiste à introduire dans le vagin ou dans l'anus de la soumise, une racine de gingembre, du
poivre, harissa, d'alcool de menthe, ou autre substance forte et pimentée.
J'ai testé pour ma part le figging au gingembre sur ma soumise Kassandra.
Le moment venu j'aime la voir allongée, les jambes écartées, pas de bandeau sur les yeux; je préfère qu'elle regarde l'introduction de la racine dans son vagin ou dans son anus.
Une fois la racine coupée à bonne dimension et épluchée, vous l'introduisez en premier lieu dans le vagin, puis après quelques minutes d'application dans l'anus pour la même séquence.
Voici le récit de ma soumise Kassandra et ses ressentis;
La première sensation que je perçus fut le froid!!, non pas comme de la glace, plus aiguë, j'ai pensé à de l'azote liquide.... et vint la brûlure....
Une brûlure intense, fulgurante, sèche, insupportable, toute ma concentration était tournée vers mon sexe, mon vagin humide, brûlant, et froid en même temps.
Et Maître me l'enleva de mon vagin pour me l'introduire dans l'anus.
Toujours cette même sensation, mais décuplée; je me tordais, incapable d'échapper à la chaleur du gingembre placé dans mon cul.
Je gémissais ....... de plaisir et de douleur aussi.
Lorsque mon Maître retira la racine, je me sentis soulagée, bien que mon vagin et mon anus soient restés sensibles pendant au moins 15 à 20 minutes......
Et pour terminer, une séance fessée.........
Mais toute prête à recommencer, tant les sensations sont extraordinaires.
Par Maître andré
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Publié dans : Mes pratiques MAÏTRE ANDRE
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Mardi 28 avril
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09:41
Aujourd'hui c'est trop!!!! je perds patience trop d'oublis, une punition s'impose....
Par Maître andré
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Publié dans : LA PUNITION DU JOUR
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