Le blog de Maître André & Kassandra
Jamais encore, je n'avais pris totalement conscience de façon aussi aiguë de ma totale soumission envers mon Maître, et
de cet élan d'abandon auquel je me livre, ma volonté dissoute, aux ravages de cette passion, et des épreuves auxquelles il me soumet.
Ce matin il fait un temps superbe, Maître m'ordonne de mettre une robe légère, sans rien dessous, comme d'habitude, tandis qu'il choisit quelques petits accessoires qu'il emportera dans son sac à dos.
Nous partons à l'aventure dans la colline.... La marche est agréable, un peu de vent léger soulève ma robe, et je sens son regard qui s'attarde sur mes rondeurs.....
Ici, voilà qui va convenir... Une vaste étendue verte se dessine devant nous. L'angle du pré, est envahi d'une végétation serrée de jeunes orties toutes fraîches......., et mon regard s'attarde sur l'une d'elle, dont les feuilles déchiquetées, mangées par une grosse chenille paresseuse, qui trône au sommet des feuilles.
Un frisson de dégoût me parcours... et je sais ce que Maître veut.
L'air est tiède, de ce printemps, mais j'ai la chair de poule.... ma robe enlevée, je sens la chaleur du soleil, qui n'arrive pas à me réchauffer.
Agenouillée devant les orties, j'hésite comme devant une eau très froide.
Sur un rappel de mon Maître, dont la voix s'est durcie subitement, je m'engage dans le carré d'orties.
Mes genoux et mes jambes subissent les premiers assauts de l'âcre brûlure, puis tandis que je progresse, mon ventre et mes seins s'y soumettent à leur tour, et bientôt des cloques rouges tatouent ma peau de leurs caresses ardentes.
J'ai occulté pendant tout ce temps cette énorme chenille qui se trouve devant moi.
Et bien qu'attends tu ?
Ma volonté est défaillante... ma langue se pose sur les feuilles rongées où broute la chenille.
Je suis surprise par la relative insensibilité des muqueuses de ma bouche aux piqûres d'orties, et de ce goût fade....
Mais je supplie Maître du regard; je ne peux toucher à cette chenille
C'est mon premier refus, je ne peux dominer mon dégoût, et je vois le regard attristé de mon Maître, alors dans un ultime sursaut, je touche des lèvres l'immonde chenille, mais ne peux ni la croquer, ni l'avaler...
Tu as refusé cette épreuve, tu seras durement punie, je te le promets....
En attendant allonges toi complètement sur cette litière d'orties fraîches, mets toi sur le ventre, jambes et bras bien écartés, je vais te fouetter avec ce cadeau de la nature pendant 5 minutes.
Je ne suis plus qu'une immense brûlure, j'ai l'impression d'avoir une fourmilière sur moi qui mord à tout va, je crie , je supplie, le venin pénètre ma chair sensible de mes fesses et de mon dos, et une douleur aiguë, éclate à chaque soubresaut que je fais.
Incapable de retenir mes larmes, mon Maître me relève, libérée, je savoure, abandonnée dans ses bras, sa tendresse retrouvée.
Ma robe , devenue un cilice insoutenable, le chemin du retour ne fut une épreuve aussi dure que celle que je venais de subir, et je pensais à cette punition, qui n'allait pas tarder à venir, parce que j'avais failli à la précédente
Ce matin il fait un temps superbe, Maître m'ordonne de mettre une robe légère, sans rien dessous, comme d'habitude, tandis qu'il choisit quelques petits accessoires qu'il emportera dans son sac à dos.
Nous partons à l'aventure dans la colline.... La marche est agréable, un peu de vent léger soulève ma robe, et je sens son regard qui s'attarde sur mes rondeurs.....
Ici, voilà qui va convenir... Une vaste étendue verte se dessine devant nous. L'angle du pré, est envahi d'une végétation serrée de jeunes orties toutes fraîches......., et mon regard s'attarde sur l'une d'elle, dont les feuilles déchiquetées, mangées par une grosse chenille paresseuse, qui trône au sommet des feuilles.
Un frisson de dégoût me parcours... et je sais ce que Maître veut.
L'air est tiède, de ce printemps, mais j'ai la chair de poule.... ma robe enlevée, je sens la chaleur du soleil, qui n'arrive pas à me réchauffer.
Agenouillée devant les orties, j'hésite comme devant une eau très froide.
Sur un rappel de mon Maître, dont la voix s'est durcie subitement, je m'engage dans le carré d'orties.
Mes genoux et mes jambes subissent les premiers assauts de l'âcre brûlure, puis tandis que je progresse, mon ventre et mes seins s'y soumettent à leur tour, et bientôt des cloques rouges tatouent ma peau de leurs caresses ardentes.
J'ai occulté pendant tout ce temps cette énorme chenille qui se trouve devant moi.
Et bien qu'attends tu ?
Ma volonté est défaillante... ma langue se pose sur les feuilles rongées où broute la chenille.
Je suis surprise par la relative insensibilité des muqueuses de ma bouche aux piqûres d'orties, et de ce goût fade....
Mais je supplie Maître du regard; je ne peux toucher à cette chenille
C'est mon premier refus, je ne peux dominer mon dégoût, et je vois le regard attristé de mon Maître, alors dans un ultime sursaut, je touche des lèvres l'immonde chenille, mais ne peux ni la croquer, ni l'avaler...
Tu as refusé cette épreuve, tu seras durement punie, je te le promets....
En attendant allonges toi complètement sur cette litière d'orties fraîches, mets toi sur le ventre, jambes et bras bien écartés, je vais te fouetter avec ce cadeau de la nature pendant 5 minutes.
Je ne suis plus qu'une immense brûlure, j'ai l'impression d'avoir une fourmilière sur moi qui mord à tout va, je crie , je supplie, le venin pénètre ma chair sensible de mes fesses et de mon dos, et une douleur aiguë, éclate à chaque soubresaut que je fais.
Incapable de retenir mes larmes, mon Maître me relève, libérée, je savoure, abandonnée dans ses bras, sa tendresse retrouvée.
Ma robe , devenue un cilice insoutenable, le chemin du retour ne fut une épreuve aussi dure que celle que je venais de subir, et je pensais à cette punition, qui n'allait pas tarder à venir, parce que j'avais failli à la précédente
Mar 28 avr 2009
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