Le blog de Maître André & Kassandra
Le recours aux esclaves n'a pas eu seulement des motivations économiques, l'exploitation sexuelle aussi
faisait partie des raisons esclavagistes.
Dans le monde musulman et ses harems, mais aussi dans le monde chrétien.
Des esclaves pourquoi faire ?
Pour faire de l'argent, sans doute en pratiquant le commerce d'êtres humains comme n'importe quelle autre marchandise
Il est une autre motivation qui a poussé à acheter des esclaves: une motivation sexuelle.
Le regard se porte alors immédiatement vers les harems de sultans, califs et autres princes musulmans, peuplés de jeunes filles légèrement vêtues et gardées par un eunuque.
Il ne fait aucun doute que l'Islam, sanctionnant par la loi et la polygamie et le concubinage, n'a rendu que plus facile la perpétuation du droit conféré à l'homme, par l'homme de disposer de plusieurs femmes pour sa jouissance sexuelle.
Peu d'institutions du monde oriental ont autant fait fantasmer l'occident que le harem, où vivaient coupées du monde, les femmes destinées à satisfaire les désirs des sultans.
Les récits des marchands et des servantes habilités à pénétrer dans cet univers mystérieux rapportés par les voyageurs, ont inspiré la littérature, la peinture, et la musique occidentales plusieurs siècles durant, dans un mélange de fascination et de rejet.
Le harem désigne à la fois la suite de femmes ( concubines et simples beautés) qui entouraient une personne importante et leur lieu de résidence.
Le mot harem dont le sens oriental est "interdit aux hommes" dérive du mot harâm qui désigne ce qui est tabou, interdit par la religion.
C'est un lieu avant tout de plaisir, où les femmes qui ont été placées de gré ou de force sont au service du seigneur, comme tâche de lui donner des enfants, de le divertir, et du plaisir sexuel.
Les odalisques étaient généralement des esclaves données en cadeau au sultan, qui pouvaient monter jusu'au statut de concubine ou de femme dans les serails ottomans .
Ce mot vient du turc odalik qui signifie "femme de chambre ", de "oda" chambre.
Dans le monde musulman et ses harems, mais aussi dans le monde chrétien.
Des esclaves pourquoi faire ?
Pour faire de l'argent, sans doute en pratiquant le commerce d'êtres humains comme n'importe quelle autre marchandise
Il est une autre motivation qui a poussé à acheter des esclaves: une motivation sexuelle.
Le regard se porte alors immédiatement vers les harems de sultans, califs et autres princes musulmans, peuplés de jeunes filles légèrement vêtues et gardées par un eunuque.
Il ne fait aucun doute que l'Islam, sanctionnant par la loi et la polygamie et le concubinage, n'a rendu que plus facile la perpétuation du droit conféré à l'homme, par l'homme de disposer de plusieurs femmes pour sa jouissance sexuelle.
Peu d'institutions du monde oriental ont autant fait fantasmer l'occident que le harem, où vivaient coupées du monde, les femmes destinées à satisfaire les désirs des sultans.
Les récits des marchands et des servantes habilités à pénétrer dans cet univers mystérieux rapportés par les voyageurs, ont inspiré la littérature, la peinture, et la musique occidentales plusieurs siècles durant, dans un mélange de fascination et de rejet.
Le harem désigne à la fois la suite de femmes ( concubines et simples beautés) qui entouraient une personne importante et leur lieu de résidence.
Le mot harem dont le sens oriental est "interdit aux hommes" dérive du mot harâm qui désigne ce qui est tabou, interdit par la religion.
C'est un lieu avant tout de plaisir, où les femmes qui ont été placées de gré ou de force sont au service du seigneur, comme tâche de lui donner des enfants, de le divertir, et du plaisir sexuel.
Les odalisques étaient généralement des esclaves données en cadeau au sultan, qui pouvaient monter jusu'au statut de concubine ou de femme dans les serails ottomans .
Ce mot vient du turc odalik qui signifie "femme de chambre ", de "oda" chambre.
Lun 23 nov 2009
2 commentaires
ce sont des fantasmes qui sont bien présents pour la plupart de nous
bonne soirée
bonne soirée
Maître andré
Les peintures orientales du 19è m'ont toujours fait fantasmer et quand je suis tombée sur des "fakes" il y a quelques années, tableaux détournés en scène bdsm j'ai adoré, j'en ai une petite
collection virtuelle ;-) vous devez connaître, ils sont "signés" sous le nom de Damian, mais je n'ai jamais pu savoir à qui, à quoi ce pseudo correspondait, si quelqu'un peut éclairer ma lanterne
magique ça m'intéresserait beaucoup, rien trouvé sur google.
Bises à tous les deux !
Bises à tous les deux !
justine_messaline - le 01/12/2009 à 09h53
Je suis heureux que cela te plaise ... C est exact c est Damian mais nous sommes au même point que toi au niveau de la recherche
bises
Maître André
bises
Maître André
Maître andré
Qui n'a pas rêvé de posséder un harem?
Pas moi en tout cas...sourire...