Dimanche 26 avril
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16:12
Mon Maître m'avait accordé quelques jours de trève, pour me permettre de rassembler des forces nouvelles, mais , je
sentais son impatience avide ce matin.
Mon corps nu luisait encore de ma douche matinale, quelques gouttes d'eau brillaient sur mon dos, pour lui je m'étais parfumée et maquillée.....
Nue je l'étais déjà, et de sa malette il a sorti sa tapette en cuir avec son initiale...
Cette palette, possède des petites pointes en métal, ne dépassant à peine quelques millimètres et dessinent un grand A......
Maître a passé les lanières à mes poignets dans un anneau fixé au plafond, il a tiré fort, j'étais sur la pointe des pieds.....
A petits coups, il martelait mes fesses, la peau rosit, et quelques goutellettes pourpres apparaissaient, qui réveillèrent ma souffrance.
Un frisson me parcourut , lorsque je sentis l'odeur de fer du sang, qui coulait doucement le long de mes fesses.
J'ai fermé les yeux, et voguait dans une nuit bruissante, vacillant sur mes chaînes....
Je gémissais au rythme de ma respiration.
Toujours lucide, je ne perdais rien de ma douleur dont les ondes se suivaient sans répit.....
J'ignore comment j'ai pu tenir jusqu'à la fin, mais la fin était là, mon Maître m'a libéré de mes entraves, mais je suis restée longtemps sans trouver le courage de me relever, mais
heureuse et débordante d'un désir qu'avive encore l'attente de ma prochaine épreuve.
Par Maître andré
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Publié dans : LES SUPPLICES DE KASSANDRA
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Dimanche 19 avril
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15:10
Ce matin, je nage dans le bonheur!!
Hier soir , Maître m'a fait signer en bonne et dû forme, mon contrat d'esclavage.
Je l'avais tant désiré, depuis plusieurs années..., et voilà , maintenant que solennellement j'ai signe en tout conscience et ravie..
Pourtant, rien ne paraît simple, ni facile , j'en conviens, cela exige même des efforts constants de ma part, et un comportement parfait de soumise esclave, ce que je ne suis pas ...
En signant ce contrat, Maître me dit :
Je ne me joues pas de toi, je te veux. Mais je ne te veux pas esclave, ce n'est pas assez que d'être esclave, ni même consentante à un esclavage volontaire.
Tu devras coopérer de tout ton être, à mon gré à tes propres souffrances, et à ton avilissement.
Je ne suis pas capricieux me dit -il, et tu ne seras pas châtiée, mais tu devras mériter chacune de nos unions, en surmontant les épreuves que je t'imposerai, en te vainquant toi même, en un
combat dont je serai l'impitoyable arbitre.
Et tes épreuves seront chaque fois différentes pour que l'accoutumance ne vienne pas en atténuer la sévérité.
Tu souffriras; et s'il m'arrive de te lier, ce ne sera pas pour te soumettre à ma volonté, mais par une faveur exceptionnelle, pour t'aider à franchir une étape trop dure dans l'apprentissage de
l'ascèse difficile où je te convie.
Je te veux dans mes mains, non comme une cire molle, mais comme un arc bandé et vibrant, que je tendrai jusqu'à la limite de sa résistance, vers un but dont je déciderai seul.
Maître , je tremble, c'est vrai.
Ce n'est pas la crainte de la souffrance, mais celle de ne pas être digne de ta confiance, de te décevoir par une faiblesse que je hais en moi, mais que je suis sure de pouvoir surmonter.
Puisse mon total désir de toi , suppléer à mes forces incertaines.
Maître, je me remets sans réserves entre tes mains, que je souhaite impitoyablement perverses et savamment cruelles.....
soumise Kassandra
Par Maître andré
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