24 HEURES CHEZ MAITRESSE MIRA
                                                                           

                                                                                   
Il était convenu avec mon Maître, qu'il me confie pendant 24 heures à Maîtresse Mira.

Avec son mari Orphée, qui est soumis, nous avions eu l'occasion de jouer quelques fois ensemble, mais sur de très courts moments, et notre amitié mutuelle était née, avec le respect aussi...

Jeudi matin, je me levais avec la peur au ventre,.. une angoisse latente planait, mais je ne voulais rien montrer.
Je voulais bien accueillir Mira, par un petit repas sympathique, pour ensuite partir chez elle, seule, sans mon Maître.

Une petite valise d'habits sexy, une trousse de toilette, voilà j'étais prête.
Je me montrais gaie, enjouée, mais c'était la première fois que mon Maître  me laissait partir seule pour des jeux bdsm.

Un petit signe de la main, et nous étions parties.

Pendant tout le trajet, je m'efforçais de paraître détendue, mais mon  ventre me rappelait à l'ordre.
Notre conversation fut des plus banales. Je dirais que Maîtresse Mira faisait tout pour me mettre à  l'aise et je l'en remercie.

Et nous sommes arrivées chez elle. Juste le temps pour nous deux de nous préparer, que son soumis arrivait.

Son donjon me parut envoûtant, féérique, des  voiles rouges et noirs drapaient les murs, des panoplies de fouets magnifiques y étaient accrochés, des pinces, des poids, des rayonnages remplis de matériels sm, une crois de  saint André tournante, un sling, un palan, bref le rêve pour un soumis ou une soumise.

   

 J 'étais là, parce qu'un soumis débutant voulai voir Maîtresse Mira dominer une soumise.
Un peut tremblante, je me mettais à genoux à côté de ce soumis, qui lui était déjà en position.

J'avais la tête baissée, mais je regardais furtivement Maîtresse Mira qui lui faisait un bondage en position foetale.
Allongé inconfortablement, sur le moquette, il attendait maintenant de me voir me soumettre à Maîtresse...

Attachée à la croix de saint André,  les reins cambrés, j'offris mes fesses à la dure caresse de la badine et des martinets....

Les coups cinglaient, en cadence, je criais , je tressautais, mais n'implorais pas encore. Je sentais toute l'énergie farouche de Maîtresse Mira, je percevais sa respiration saccadée, entreméles de mes cris.

Je m'entendais crier, encore, encore, oui oui.....

Fin de la première partie