Dimanche 3 mai
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17:31
MES 24 HEURES CHEZ MAITRESSE MIRA SUITE...
Le soumis étant parti , nous étions seules toutes les deux.
Jamais nous n'avions eu l'occasion de nous parler longuement; de nous raconter nos vies, nos désirs, nos fantasmes... et cela nous rapprochait encore plus.
Après le dîner, Maîtresse Mira me dit.: et si on se faisait plaisir ? Allons dans le donjon, j'ai envie de jouer avec les aiguilles..
J'opinais de la tête, et je me suis retrouvée dans le sling, les jambes relevées, et attachées haut.
Maîtresse Mira pris des petites aiguilles orange, et tout autour de mon nombril, elle dessina une étoile... on aurait dit un soleil jaune.
Je sentais les aiguilles pénètrer sous la peau, et ressortir, et à chaque fois avec cette impression que ma peau paraissait épaisse et dure; ce n'était pas douloureux, juste une sorte d'excitation
nerveuse...
Mais après le soleil de mon ventre, Maîtresse Mira voulut fermer mon sexe.
La première aiguille qui transperça ma grosse lèvre me fit hurler de douleur, surtout que Mira prenait son plaisir, en l'implantant doucement, faisant durer mon supplice....
Je me concentrais en fermant les yeux, surfant sur la vague de douleur, et chaque fois qu'une nouvelle aiguille me transperçait, ma douleur se mélangeait à mon plaisir...
Bientôt; je ne fus plus que sensations... j'attendais avec impatience Mira qui forçait ma chair avec ses pieux brûlants, et ma jouissance éclatait comme un feu d'artifice...
Il était tard, j'avais sommeil, et je me couchais...
Mira quand à elle, devait finir son courrier, et viendrait me rejoindre un peu plus tard....
En plein sommeil, quelques heures plus tard, je fus réveillée brutalement.
Lèves toi!! tu vas être punie, le donjon n'a pas été bien nettoyé, et la baignoire est encore pleine de cire.....
Debout, et files dans le donjon...
Comme une somnambule, nue, je me dirigeais vers son donjon.
Mets toi contre la croix, je vais t'administrer une magistrale fessée à mains nues.
Sans préambule, les premières claques m'arrachèrent un cri.
Un tam-tam frénétique, en cadence, claquait sur mes fesses, qui rougissait à vive allure..
La douleur était bien réelle, je n'étais plus que fesses, et la brûlure sur les mains de Maîtresse Mira mit fin à mon supplice.....
Bien réveillée maintenant, j'ai cherché le sommeil qui ne venait plus...
Allongée à ses côtés, je la regardais dormir.. elle était belle.....
Le chant du coq (électronique) nous réveilla.
Je filais sous la douche avant le petit déjeuner, mais une autre surprise m'attendait encore.
Avant que ton Maître ne vienne te chercher, je voudrais laisser sur ta peau mes marques......
Debout, nue, dans son salon, j'entendis sans voir, le bruit sensuel du single tail.
Ce murmure qui enfle, et qui pète aux oreilles, me met en transes.
Le claquement sec comme le tonnerre, et de suite, la brûlure intense sur la peau, qui coupe la respiration.
Je m'offrais toute entière, de tout mon corps , de toute mon âme, je tournais sur moi même, quémandant ce bonheur....
Essoufflée et transpirante, mais rouge de bonheur, Maîtresse Mira vint m'embrasser.
Je la regardais, échevelée, les yeux brillants, elle resplendissait.
Merci à toi ma belle amie
Merci à toi Maîtresse MIRA
Par Maître andré
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Publié dans : LES SUPPLICES DE KASSANDRA
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