Mardi 21 avril
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/04
/Avr
12:28
TEMPUS FUGIT : SECONDE JOURNEE
Il était tard, et la fatigue pesait sur tous mes membres.... Et bien dirent-ils à l'unisson, pour vous récompenser d'avoir vécu cette journée, nous sommes fiers de vous offrir une petite faveur.,bien méritée, nous allons vous prodiguer un massage apaisant, décontractant, après vous ferez une bonne nuit!!!!
Maître prit une huile parfumée , et pendant une demi heure ce fut le plaisir total.
Des doigts de pieds, à la tête, il me massa mensuellement, et mes sens à nouveau en éveil, suivaient les courbes de ses mains sur mes fesses, mon dos, mes épaules.....
J'écartais les jambes, lui faisant comprendre que mon excitation était encore vive.
Je n'avais pas envie que cela s'arrête..
Sa main s'immisça entre mes cuisses, et remonta lentement, mon sexe était humide; il y glissa ses doigts.
Il caressa avec son majeur, tandis que son pouce décrivait des cercles autour de mon clitoris.
Je me mis a bouger doucement en cadence. Je sentais la tension me gagner, impérative, irrépréssible, des gémissements de plaisir s'échappaient de ma gorge, et l'orgasme salvateur vint.
Alanguie, reposée, je nageais dans la béatitude..... Et l'heure du coucher arriva.
Cette nuit, vous allez dormir tous ensemble, vous avez besoin d'une bonne nuit de sommeil, et nous aussi dirent ils, nous allons vous enlever vos bandeaux et vos bouchons d'oreilles.
J'étais un peu déçue, moi qui n'attendais qu'à dormir attachée, qui espérais des tourments nocturnes.
Pour évacuer toute cette tension, nous nous sommes comportés pendant un quart d'heure comme des enfants dans une colonie de vacances, à rire, à plaisanter, et le sommeil vint nous terrasser.
Le jour perçait, un pâle soleil attirait une multitude d'oiseaux piailleurs.
Maître André monta nous voir dans la mezzanine, d'un ton rassurant, il nous invita à nous lever, à déjeûner,tous ensemble,à nous laver, oh quelle joie!!! et seulement après nous devions reprendre le cours du séminaire tempus fugit.
L'angoisse était palpable,remettre le bandeau, ne plus entendre encore, endosser cette guenille puante, tout en moi refusait... je me rebellais....
Et puis quand in vint me prendre par la main, toute ma docilité repris mon être.
Je voulais qu'il soit fier de moi.
Je subis d'autres tourments, des poids, des pinces, encore et toujours du fouet...
Et comme je n'arrivais pas à faire bander soumis C avec ma bouche, on me fit comprendre que je serais punie dans l'après midi!
L'heure du repas stoppa pour un moment nos tourments.
On se retrouva tous et toutes , autour d'un bar en fer, sur des hauts tabourets, et à travers nos bandeaux, nous voyions un peu de lumière, la journée était ensoleillée, cela nous donna du punch.
Le repas composé de viande coupée et de salade fut mangé avec les mains, et avec appetit cette fois ci, la sauce dégoulinait de nos doigts.
N° 2 !!!!!!! ta guenille ressemble à une serpillière !!! c'est honteux!! Je baissais la tête, je tendais le dos, sûrement, encore une punition à venir...... Nous avons même eu droit à une coupe de champagne, que je buvais avec délectation.
Mais notre humiliation était toujours présente, dès que l'envie d'aller aux toilettes se faisait impérative, nos maîtres et maîtresses, intransigeants, attendaient la dernière limite, et impuissants, il fallait supplier.....
Et bien, puisque vous avez envie de faire pipi, nous allons acceèder à vos désirs.
A la queue leu leu, nous nous retrouvâmes dehors dans le jardin!
Les trois soumises numéro 1, numéro 2, et numéro 3 à genoux et nues.
J'entendais soumise numéro 3 qui pleurait, qui disait non non non!!!!
Entre soumise numéro 1, et moi même, nous lui entourions les épaules , et la taille, pour la réconforter, et l'aider à passer l'épreuve qu'elle ne connaissait pas encore.
Et soudain, une pluie dorée, chaude et odorante, s'abattit sur nous trois.
Le soleil nous réchauffait le dos et les fesses, et malgré cette humiliation, nous profitions de ce moment privilégié.
Une douche chaude et réconfortante, nous avait ragaillardi... et TEMPUS FUGIT s'acheva.
De numéro 2, je redevins Kassandra.
Quel soulagement de pouvoir jeter ma guenille, et d'ôter mon bandeau.
Je m'étais battue contre moi même, et j'étais fière d'avoir réussi à bien me comporter.
Merci à vous Maîtres et Maîtresses, d'avoir vécu avec nous ces moments magiques, et hors du temps.
Merci à toi Maître, d'avoir su si bien décoder mes attentes et mes envies....... et vivement le prochain séminaire.
Il était tard, et la fatigue pesait sur tous mes membres.... Et bien dirent-ils à l'unisson, pour vous récompenser d'avoir vécu cette journée, nous sommes fiers de vous offrir une petite faveur.,bien méritée, nous allons vous prodiguer un massage apaisant, décontractant, après vous ferez une bonne nuit!!!!
Maître prit une huile parfumée , et pendant une demi heure ce fut le plaisir total.
Des doigts de pieds, à la tête, il me massa mensuellement, et mes sens à nouveau en éveil, suivaient les courbes de ses mains sur mes fesses, mon dos, mes épaules.....
J'écartais les jambes, lui faisant comprendre que mon excitation était encore vive.
Je n'avais pas envie que cela s'arrête..
Sa main s'immisça entre mes cuisses, et remonta lentement, mon sexe était humide; il y glissa ses doigts.
Il caressa avec son majeur, tandis que son pouce décrivait des cercles autour de mon clitoris.
Je me mis a bouger doucement en cadence. Je sentais la tension me gagner, impérative, irrépréssible, des gémissements de plaisir s'échappaient de ma gorge, et l'orgasme salvateur vint.
Alanguie, reposée, je nageais dans la béatitude..... Et l'heure du coucher arriva.
Cette nuit, vous allez dormir tous ensemble, vous avez besoin d'une bonne nuit de sommeil, et nous aussi dirent ils, nous allons vous enlever vos bandeaux et vos bouchons d'oreilles.
J'étais un peu déçue, moi qui n'attendais qu'à dormir attachée, qui espérais des tourments nocturnes.
Pour évacuer toute cette tension, nous nous sommes comportés pendant un quart d'heure comme des enfants dans une colonie de vacances, à rire, à plaisanter, et le sommeil vint nous terrasser.
Le jour perçait, un pâle soleil attirait une multitude d'oiseaux piailleurs.
Maître André monta nous voir dans la mezzanine, d'un ton rassurant, il nous invita à nous lever, à déjeûner,tous ensemble,à nous laver, oh quelle joie!!! et seulement après nous devions reprendre le cours du séminaire tempus fugit.
L'angoisse était palpable,remettre le bandeau, ne plus entendre encore, endosser cette guenille puante, tout en moi refusait... je me rebellais....
Et puis quand in vint me prendre par la main, toute ma docilité repris mon être.
Je voulais qu'il soit fier de moi.
Je subis d'autres tourments, des poids, des pinces, encore et toujours du fouet...
Et comme je n'arrivais pas à faire bander soumis C avec ma bouche, on me fit comprendre que je serais punie dans l'après midi!
L'heure du repas stoppa pour un moment nos tourments.
On se retrouva tous et toutes , autour d'un bar en fer, sur des hauts tabourets, et à travers nos bandeaux, nous voyions un peu de lumière, la journée était ensoleillée, cela nous donna du punch.
Le repas composé de viande coupée et de salade fut mangé avec les mains, et avec appetit cette fois ci, la sauce dégoulinait de nos doigts.
N° 2 !!!!!!! ta guenille ressemble à une serpillière !!! c'est honteux!! Je baissais la tête, je tendais le dos, sûrement, encore une punition à venir...... Nous avons même eu droit à une coupe de champagne, que je buvais avec délectation.
Mais notre humiliation était toujours présente, dès que l'envie d'aller aux toilettes se faisait impérative, nos maîtres et maîtresses, intransigeants, attendaient la dernière limite, et impuissants, il fallait supplier.....
Et bien, puisque vous avez envie de faire pipi, nous allons acceèder à vos désirs.
A la queue leu leu, nous nous retrouvâmes dehors dans le jardin!
Les trois soumises numéro 1, numéro 2, et numéro 3 à genoux et nues.
J'entendais soumise numéro 3 qui pleurait, qui disait non non non!!!!
Entre soumise numéro 1, et moi même, nous lui entourions les épaules , et la taille, pour la réconforter, et l'aider à passer l'épreuve qu'elle ne connaissait pas encore.
Et soudain, une pluie dorée, chaude et odorante, s'abattit sur nous trois.
Le soleil nous réchauffait le dos et les fesses, et malgré cette humiliation, nous profitions de ce moment privilégié.
Une douche chaude et réconfortante, nous avait ragaillardi... et TEMPUS FUGIT s'acheva.
De numéro 2, je redevins Kassandra.
Quel soulagement de pouvoir jeter ma guenille, et d'ôter mon bandeau.
Je m'étais battue contre moi même, et j'étais fière d'avoir réussi à bien me comporter.
Merci à vous Maîtres et Maîtresses, d'avoir vécu avec nous ces moments magiques, et hors du temps.
Merci à toi Maître, d'avoir su si bien décoder mes attentes et mes envies....... et vivement le prochain séminaire.
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