Dimanche 26 avril
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16:36
LE " BREATH CONTROL"
Depuis quelques jours, je suis au repos, mais je me dis après le calme la tempête.......
Hier soir, nous nous sommes rendus chez une amie dominatrice, dont je tairais le nom pour des raisons qui lui sont personnelles, mais elle se reconnaîtra dans ce récit, et je l'en
remercie pour ces moments intenses qu'elle m'a offert!.
Arrivée chez elle, j'ai attendu debout dans la salle de bains... Je suis frappée par sa petite taille, et par l'absence apparente d'accessoires de jeux.
Entres dans la baignoire me dit elle, et allonges toi.
Nue je me glisse dans l'eau chaude, c'est un réel bonheur; détends toi me dit-elle.
Je vais te mettre ce masque à gaz, et je vais
ermer toutes les ouvertures, tes mains seront attachées sous l'eau, et j'exige que tu t'abstiennes de te tortiller, tu dois me faire confiance, s'il le faut pour te délivrer et te
ranimer........
Te sens tu capable ?
La rigueur imprévue de l'épreuve m'a prise de court. Mes mains tremblent, et surmontant mon trouble, j'acquiesse de la tête......
Tout mon corps est sous l'eau maintenant.... et je sens comme une chappe recouvrir entièrement la baignoire. Un épais couvercle en bois épouse les contours de la baignoire.
Je ne ressens aucune entrave à ma respiration, je serre entre les dents ce tuyau d'air , qui me permet de respirer et me relie à la vie...
Pendant quelques moments, rien ne se passe...... l'eau est chaude, provoquant un sentiment d'intimité, je suis dans le noir total...
Je suis très calme, un peu engourdie même. Ma respiration s'est sensiblement accélérée, le battement de mes tempes se mêlent au bourdonnement de mes oreilles.
Et soudain, je ne peux plus respirer.....
J'étouffe, et je dois faire un effort croissant pour rester immobile..... Je me tords, incapable de retenir les soubresauts convulsifs de mes jambes sous la planche de bois....
Je panique, j'ai perdu ma lucidité, mes mains attachées se crispent et ébauchent des gestes désordonnés..
J'ai crû m'évanouir.... mais Maîtresse qui me surveillait, relâche le tuyau, et de nouveau je respire....... j'avale goulûment l'air, comme pour faire des réserves, car je sais que son plaisir,
est de me voir suffoquer jusqu'à l'évanouissement.
Le désir d'acceptation totale m'envahit à nouveau, et c'est dans un état d'exaltation voisin de l'orgasme qu'elle m'empêche pour une autre fois de respirer...
J'ai repris confiance, et c'est calmement que je termine cette épreuve.
Par Maître andré
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Publié dans : LES SUPPLICES DE KASSANDRA
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